Telle une feuille morte
Je virevolte de part et d’autre du vide médian
emmené par le vent qui me porte
Mais inexorablement
Je retourne vers le centre
de ma Terre, dans son antre.
NB: J’aurais pu intituler ce poème “Lâcher Brise” mais je pense que j’aurais fait un vent.